hommage à mon père
Lettre / poème à mon père disparu trop tôt
bientôt c'est la fête des pères, alors je dédie ce poème à mon père décédé le 18 Janvier 2004
Papa, Je t'adresse cette lettre car inlassablement je ne cesse de répéter à la terre entière que tu me manques depuis ton départ il y a deux ans et j'ai l'impression que c'était hier, et je n'ai même pas pu profiter des derniers instants que tu m'offrais à cause de ton coma. je n'ai pu te dire au revoir.
Je t'ai promis de sourire à la vie comme tu m'as toujours souri. Et pourtant j'ai bien du mal à suivre cette promesse, tu es parti trop tôt, et je hais cette maladie que l'on appelle « cancer » qui dévore le monde et nous laisse orphelins.
Je t'ai promis de sourire à la vie comme tu m'as toujours souri. Et pourtant j'ai bien du mal à suivre cette promesse, tu es parti trop tôt, et je hais cette maladie que l'on appelle « cancer » qui dévore le monde et nous laisse orphelins.
A présent, tu es parmi les anges, en paix, loin de la cruauté des hommes. Je n'ai pu te dire au revoir avec mes yeux tant ils étaient emplis de larmes. Aujourd’hui je me sens terriblement seule et le vide que tu as laissé derrière toi pèse lourd sur mon cœur, j'ai mal de ton absence, j'ai le cœur froid et l'âme en peine. Malgré cela je dois sourire à la vie, alors je parle de toi à tous les temps ainsi j'ai un peu moins froid.
Papa,
C’est dans l’ombre du silence
Que j’entends ta voix
Loin des médisances
Je m’y sens chez moi
J’ai beau continué, rire
Et même parfois chanter
Je n’en reste pas moins le soupir
D’un cœur blessé
C’est dans l’ombre du silence
Que j’entends ta voix
Loin des médisances
Je m’y sens chez moi
J’ai beau continué, rire
Et même parfois chanter
Je n’en reste pas moins le soupir
D’un cœur blessé
Je ne sais plus à qui parler
Lorsque tu m’as quittée
Tout s’est refermé spontanément
Je ne cesse de penser à toi
Comme je ne penserai jamais à un autre
Car sans toi papa
Je suis une autre
Ta fille qui t'aime
A Chacun son heure, à chacun son moment, comme toi avant tu as su vivre après la mort de ton père, et de ta mère et à présent c'est toi qui es parti à 62 ans, alors mon tendre papa je vis malgré moi, mais je vis.
Je sais que je te l'ai déjà trop dit mais je te le dis quand même je t'aime.
Je sais que je te l'ai déjà trop dit mais je te le dis quand même je t'aime.